Après 3 réunions pour renégocier l’accord télétravail qui vient à échéance en fin d’année, nous avons appris que le périmètre de l’UES COVEA n’était pas adapté pour répondre aux besoins d’optimisation fiscale et sociale du groupe.
Le 25 mai prochain, nous allons ouvrir de nouvelles négociations, cette fois-ci dans le cadre du Groupe afin que COVEA puisse continuer de bénéficier des exonérations relativement à l’indemnité forfaitaire versée aux télétravailleurs. Pour autant, en ce qui concerne les salariés à proprement parler, les plafonds URSSAF vont plus loin et la Direction oublie de les mentionner tant sur les indemnités versées par jour de télétravail que pour le matériel.
Pour l’acquisition de mobilier la direction propose de passer par une centrale d’achat (mais à payer entièrement par le salarié) alors qu’une prise en charge est prévue par l’URSSAF à concurrence de 50% des dépenses.
Sur le fond, le choix des formules à la main des directions Métiers, le caractère trop subjectif du critère d’autonomie, la prévention des Risques Psycho-Sociaux spécifiques et la formation sont des thèmes importants pour la CGT et doivent également faire l’objet de réelles négociations.
Le refus du télétravail pour tous (notamment en agences commerciales) n’est pas compréhensible puisque l’omnicanal est la règle et qu’une partie du travail peut se faire à distance.
Nous défendrons donc ces points de vue lors de la prochaine rencontre